l’actualité culturelle de l’artichaut

Galerie

nous vous accueillons & mettons à disposition notre galerie artistique

Chaque saison s’ouvre avec l’organisation d’une exposition artistique qui constitue un temps cadré. Entre ces 4 expositions annuelles se déploient les temps des possibles durant lesquels l’Artichaut est ouvert à l’accueil de projet divers autour de l’art, de la culture, de l’artisanat, du paysage, du nourricier et du culinaire. Ces temps des possibles émanent d’une volonté d’épaulement et de porter à connaissance.

Printemps 2024

— > 27 MAI > 21 JUIN 2024

— > LUN > VEN – 10H > 18H

— > + SAM 1er / DIM 2 JUIN

exposition

déambulations

BAD+ Art Fair (salon de l’art contemporain et du design à Bordeaux) se tiendra du 31 mai au 2 juin 2024.
L’Artichaut est à nouveau lauréat de l’appel à projets et nous sommes ravis de présenter l’exposition d’art génératif « Déambulations » de Julien Gachadoat.

Julien Gachadoat explore depuis plusieurs années les possibilités du dessin génératif en créant des oeuvres uniques produites par algorithmes. Combinant des éléments géométriques monochromes et jouant sur les répétitions spatiales, il travaille sur l’émergence de formes abstraites en introduisant une part d’imprévisibilité à l’aide de séquences de nombres aléatoires.

L’exposition à l’Artichaut montrera une sélection de ses oeuvres et proposera des ateliers gratuits (sur inscription), animés par l’artiste, au cours desquels une installation avec un traceur produira des dessins en direct.

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Printemps 2023

— > 2 > 25 mai 2023

— > lun > ven – 11h > 18h

exposition

Une seconde avant… Une seconde après

Bad+ Art Fair (salon de l’art contemporain et du design à Bordeaux) s’est tenu du 4 au 7 mai. Après le succès de la première édition, la seconde s’annonce augmentée avec une dimension internationale mais aussi, un programme élargi sur le territoire aux lieux d’art et de culture : L’Art dans la Ville.

Naturellement, L’Artichaut a répondu à l’appel à projets et nous sommes ravis de présenter Confluences, une installation portée par l’artiste bordelaise, Sophie Mouron, dans (sur) les murs de L’Artichaut Bordeaux, sur la place Pierre Cétois et la sente Marie Galante.

À mi-chemin entre une exposition et un parcours, cet évènement proposé dans le cadre de Bad+ Art Fair, marquera la première étape de notre projet d’occupation de l’espace public au-delà des murs de la galerie.

Automne 2022

— > 4 oct > 4 nov 2022

— > lun > ven – 11h > 18h

— > Vernissage jeudi 6 octobre à 19h

exposition

Dans les bras de Déméter

À l’automne, l’écureuil s’empresse de faire des réserves. C’est la saison que L’Artichaut choisit pour sortir de la sienne.

Loin du syndrome de l’écureuil, c’est-à-dire loin d’une pathologie mais proche d’ (ou carrément) une poésie, la compulsion de Lucie Bayens est une forme de « collectionnite ». Elle glane, collecte donc, reçoit aussi parfois, apparie « inerte et vivant » et compose des installations en cousant, brodant, tressant, sculptant, composant une trilogie idée/main/matière, tendant des ponts entre nature et culture, sauvage et civilisé.

Vous en connaissez, vous aussi, des collectionneurs… il y a ceux qui sont « placard » (amassant des objets pour leur seul plaisir) et ceux qui sont « vitrine ». On vous laisse deviner quel camp a choisi l’artiste-plasticienne Lucie Bayens : elle qui, au terme d’une résidence initiée par l’Agence Créative, restitue recherches et créations dans la Tinbox #5 de Nadia Russe lKissoon, vitrine-mobile dont la vocation est de faire descendre l’art dans la rue.

« Dans les bras de Déméter », rend hommage à la déesse de l’agriculture et des moissons, représentante de la terre féconde, altération d’un mot grec signifiant « Terre-mère ». C’est dire que les liens avec le projet de L’Artichaut sont ténus tant notre défi d’expérimenter, créer, fabriquer, innover et participer à la construction de la ville fertile, nous anime, autant dans notre mission de programmation que dans celle de maître d’oeuvre au service de commanditaires de l’espace urbain.

Parenté donc sur le fond et aussi dans la forme, puisque notre place (Pierre Cétois, Bordeaux), cet espace du dehors, devient (pour citer Emmanuel Hocquard dans Ruines à rebours), « par mouvement de retour, un dedans grâce à l’incorporation au paysage des buildings qui le bordent », dans lequel s’installe la Tinbox #5, dans laquelle Lucie Bayens installe ses assemblages, dans lesquels…

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Été 2022

— > 1 juill > 26 août 2022

— > Prolongation jusqu’au 19 sep 2022

— > lun > ven – 11h > 18h

— > Vernissage 30/06

Série Urbains Ordinaires, 59.4 x 42 cm, tirages jet d’encres pigmentaires FineArt sur papier Hahnemühle contrecollé sur Dibond.

exposition Frédéric Desmesure

« URBAINS ORDINAIRES »

Pour sa saison estivale, l’Artichaut questionne l’idée d’Urbanité *, sous l’angle des photographies de villes en invitant Frédéric Desmesure.

Dans la série Urbains ordinaires, 2009/18, il s’interroge sur les humains et les villes dans lesquelles ils évoluent avec autant de sidération que de circonspection, d’admiration que de craintes, de joie que de tristesse.
Il développe une photographie documentaire existentielle, pour partager in fine un point de vue, via le flot de ses images collectées.

Ses premières expériences professionnelles fondatrices en début de carrière au journal Sud Ouest puis son enseignement à l’ENSP d’Arles lui apportent une culture photographique et artistique mais aussi par le croisement de la pratique et de la théorie une acutance particulière dans le métier de photo-reporter et dans la pratique du tirage argentique. Des collaborations avec l’Opéra de Bordeaux, Arc en rêve centre d’architecture, l’OARA, etc… lui permettent de croiser l’exigence de son métier de photographe et son goût pour l’art. Sa série de photographies sur les villes, Urbains ordinaires, sera initiée suite à une carte blanche à Budapest en 2009 dans le cadre du festival Interférence Hongroise.

Bien connu à Bordeaux pour ses photographies dans le domaine du spectacle vivant, Frédéric Desmesure illustre de façon tout aussi magistrale la question de l’Urbanité dans cette série, qui met en œuvre l’humain dans l’espace scénique et théâtral de la ville urbaine et péri-urbaine. On y voit un monde occidental produisant des espaces urbains stériles, qui annihilent la culture des peuples pour une uniformisation portant trop souvent un culte à la société de consommation. L’individu y perd sa liberté de pensée et son libre arbitre, les interactions et les échanges y sont limités. Nous sommes très éloignés de l’Urbanité dont la qualité première est l’hospitalité. L’Artichaut, dans son questionnement sur la Fabrique de la Ville fertile, capable d’accueillir l’ensemble des vivants, accueille cette production pour témoigner de l’urgence d’une transformation majeure dans la réalisation
des espaces publics.

* L’étymologie du mot «urbanité» renvoie à la politesse et à la civilité, soit à un ensemble de conduites qui rendent agréable et désirable la rencontre avec les autres. Le terme «urbanité» indique une modalité particulière de la relation aux autres dans les villes.

Printemps 2022

— > 14 avril > 25 mai 2022

— > lun > ven – 11h > 18h

exposition

LA FORÊT D’ART CONTEMPORAIN

Pour son exposition du printemps, l’Artichaut invite la Forêt d’Art Contemporain dans son espace de diffusion place Pierre Cétois dans le quartier de Bordeaux Maritime.
Différentes dans leurs enjeux et dans leurs formats, ces deux structures se sont reconnues portées par des valeurs communes de partage, de diffusion, de démocratisation de l’art et de la culture et par leur relation évidente avec la nature.
Irwin Marchal, commissaire de la Forêt d’Art Contemporain, a pensé l’exposition afin de mettre en lumière des artistes et des œuvres de l’itinéraire artistique de la Forêt d’Art Contemporain.
L’objectif est d’inviter les visiteurs à découvrir le parcours d’art contemporain situé au cœur du Parc naturel régional des Landes de Gascogne.
Plus qu’une simple expression de ce qu’il est possible de voir dans la Forêt d’Art Contemporain, l’exposition envisage les œuvres présentées comme des personnages à part entière, comme des esprits ou des animaux imaginaires échappés temporairement du territoire forestier. Ainsi les sculptures, peintures, dessins et vidéos revêtissent les habits symboliques de gardien du lieu, rappelant par leurs expressions ce paysage si typique, ou les histoires et légendes ancrées dans l’imaginaire landais.

En écho au projet de Bordeaux Métropole « Plantons 1 million d’arbres », La Forêt d’Art Contemporain et l’Artichaut offrent aux visiteurs l’opportunité de se questionner sur la place de l’arbre sur le territoire.
Dans le cadre de cette exposition, des rencontres seront proposées. Suivez l’actu sur le blog !

Une embuscade en suspens, Simon Queheillard, 2021, vidéo/Oeuvre 24

hiver 2021 / 2022

— > 3/12/2021 > 21/01/2022

— > PROLONGATION jusqu’au 25/02/2022

— > lun > ven – 11h > 18h

exposition MATHIEU DUVIGNAU

« LES INVISIBLES »

L’Artichaut chemine pour sa saison hivernale sur les bords d’eaux, entre littoral et estuaire, avec Mathieu Duvignaud, artiste paysagiste français vivant entre la Rochelle et le Brésil. Mathieu Duvignaud explore de façon picturale
et sculpturale la relation, sinon la confrontation entre l’homme et son environnement.

Lauréat de l’appel à projets «Coopération, création et territoires» avec le CNRS de la Rochelle et les Muséums de la ville en 2020, son travail plastique a été guidé par la condition invisible des marais. Au cœur de son geste plastique, la vase et les algues, ces dépôts naturels envahissant les plages du littoral, considérés le plus souvent comme encombrants, malodorants et repoussants.

Chaque œuvre naît d’un dialogue avec la matière et offre une représentation alternative du territoire.

automne 2021

— > 23 sept > 7 nov 2021

— > lun > ven – 11h > 18h

exposition Maitetxu Etcheverria

« DE L’AUTRE CÔTÉ DU FLEUVE »

L’Artichaut inaugure l’automne avec l’exposition de Maitetxu Etcheverria en collaboration avec La Fabrique de Bordeaux Métropole. Elle rend lisible la transformation urbaine via ses cartes blanches à des photographes.

L’Artiste nous entraîne au fil de son travail sur les chemins d’une investigation poétique. Entre photographie documentaire et fiction possible son approche est la même : observer, s’immerger, s’imprégner, puis, portée par son regard, capter dans l’instant la fragilité d’un espace, l’improbable rencontre, l’étrangeté des choses. Ses paysages et ses portraits mettent en scène la vulnérabilité de l’homme, la précarité de son environnement. Il y est question d’abandon, d’absence, de vide ou d’attente. La beauté qui s’en dégage est ambigüe, laissant transparaître une certaine vision du réel, entre douceur et inquiétude.

Maitetxu Etcheverria est une photographe française, basée à Bordeaux, diplômée de l’Ecole des Beaux Arts de Bordeaux et de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles.

été 2021

— > 17 juin > 17 sept 2021

— > lun > ven – 11h > 18h

exposition Johanna-Tilche Jean

« HARÌA – 29° 8’ 48.001 N 13° 29’ 53.999 W »

Sous le titre de HarìA – 29° 8’ 48.001» N 13° 29’ 53.999» W Lanzarote, îles Canaries, l’Artichaut inaugure sa saison estivale avec l’exposition de Johanna-Tilche Jean. L’artiste présente un premier extrait constitué de photographies réalisées dans une oasis, proche de la maison-musée de l’artiste César Manrique, une nuit de pleine lune et de tempête de sable fin décembre 2019. Ces images d’une errance nocturne font partie d’un ensemble recoupé sous le nom de la série des « Géographes ».

Printemps 2021

— > 12 > 28 avril 2021

— > lun > ven – 11h > 18h

exposition Vincent Monthiers

« ESCALE PRINTANIÈRE »

Ce printemps, le photographe bordelais Vincent Monthiers nous invite à la découverte de jardins. L’œil de l’artiste nous guidera pour découvrir ces paysages au fil des saisons, au travers des deux séries « Latences » et « Les 4 saisons en mon jardin ». Son travail esthétique se double d’une pédagogie du regard, précieuse quand il s’agit d’observer des jardins.

hiver 2020

— > 18 /12/20 > 19/02/21

— > lun > ven – 11h > 18h

exposition Chris Pillot

« NOW IS GONE »

Cette première saison hivernale accueille les œuvres de Chris Pillot.

A travers une sélection de tableaux emblématiques de la série «Now is gone», l’artiste figure la mouvance et la notion de temps par la création d’images intuitives.
« Rien n’est prémédité, tout est vécu en rapport avec l’ici et maintenant. Dans le faire, l’altérité est omniprésente, la touche à peine posée devient espace et temps : c’est pour cela que
‘Maintenant est révolu’»
.

jeune public

ateliers

Dans le cadre de l’exposition « Now is gone », nous vous proposons 5 Ateliers avec l’artiste Chris Pillot.
Ces différents ateliers sont destinés aux maternelles, aux jeunes publics, ou aux adultes.
Nous vous accueillons à l’Artichaut pour un temps de discussion autour de l’exposition ainsi qu’un partage de l’expérience de Chris Pillot dans sa pratique artistique.
Ces temps de pratiques vous permettrons d’expérimenter par vous même certains aspects de son approche plastique.
Les supports ainsi que le matériel seront fournis.

Les ateliers se déroulent sur 1h30 ou 2h en fonction des publics.
Maternelles : 8 €
Jeunes publics : 10 €
Adultes : 12 €


Renseignement & contact
contact@lartichaut-bordeaux.com
05 56 06 83 81

Automne 2020

— > 01 > 30 oct 2020

— > lun > ven – 11h > 18h

exposition Fondation Raffy

« PHÉNOMÈNE »

La première saison de l’Artichaut s’ouvre cet automne avec la Fondation Raffy qui présentera au sein du Lab et du Pop UP l’exposition « Phénomène ».

Splendeurs, Fantômes, Flottements : de l’apparition de la vie à la peinture fantôme de Manet, une plongée dans l’univers des frères Lahontâa qui dévoileront quelques uns de leurs travaux récents à la recherche de la recette de la soupe primordiale.